Malgré l'existence de nombreux courants alimentaires, il n'existe toujours pas de consensus sur la façon idéale de se nourrir. Ces courants reposent le plus souvent sur une vision intellectuelle de la façon dont nous devrions nous nourrir. Elles répondent parfois également à une justification morale («Il faut être végétarien pour se développer spirituellement»).Cependant, aucun des courants alimentaires ne tient compte de l'interaction vibratoire entre nous et ce que nous ingérons. Il existe bien certaines méthodes évaluant l'aliment sous sa forme vibratoire telle que l'alimentation dynamique de Schmitt inspiré par le clairvoyant Rudolph Steiner ou la nutrition spirituelle de Gabriel Cousens. Cependant, ces approches n'enseignent pas comment développer une relation vibratoire avec l'aliment.

En utilisant l'Écoute imaginaire, il est possible de se mettre en relation avec la qualité vibratoire de l'aliment. Nous apprenons ainsi à dépasser nos justifications et nos croyances afin de reconnaître l'aliment qui est sain pour nous.

Les aliments, accumulateurs de lumière

La science reconnaît de plus en plus que l'évaluation biochimique d'un aliment n'est pas suffisante pour évaluer sa qualité. Des chercheurs s'intéressent en effet aux capacités d'un aliment à absorber la lumière et à s'organiser pour accumuler de l'information.

Selon les recherches de Popp, les aliments sont capables de puiser de la lumière dans le milieu environnant immédiat afin de conserver de l'énergie. La qualité d'un aliment serait intimement liée à sa capacité à stocker de l'énergie lumineuse. Selon Popp, «L'aliment agit en somme comme un substitut de la lumière solaire dans le corps du consommateur.» «Ce n'est pas l'énergie transmise qui est importante mais l'aptitude qu'a cette énergie à se transposer dans la forme de structure exigée par le consommateur (en terme d'information cellulaire).»

L'aliment serait, dans ces conditions, expansif puisqu'il augmente son niveau d'organisation en puisant dans son milieu environnant. Un aliment dit limitatif serait en quelque sorte fermé au milieu environnant, incapable de stocker de la lumière. Mes observations me permettent de croire que l'aliment limitatif n'est plus vivant. Ce type d'aliment se retrouve malheureusement fréquemment dans nos marchés sous diverses formes. A l'aide de l'Écoute imaginaire, il est possible de percevoir la qualité expansive ou limitative d'un aliment et d'évaluer comment l'organisme réagit à celui-ci. Puis ensuite de rétablir la perturbation afin de l'équilibrer.